Dans la brume électrique vs. In the Electric Mist

Pareil que txoa, je ne vois pas le rapport entre votre très longue citation de René Merle et ce que nous racontons dans ce fuseau. Si c'est une réponse aux questions que je vous posais, c'est encore à côté mais, apparemment, vous éprouvez des difficultés à argumenter au delà de l'invective.

S'agissant de votre fille enseignante dans une École de commerce mais qui n'y comprend rien, je suis évidemment navré, tant pour vous (quelle honte, pas la peine de lui avoir payé des études si c'est pour cela) que pour ses élèves, qui tous doivent raquer une certaine somme pour être là et reçoivent un enseignement d'une personne incapable. Mais j'avais déjà évoqué la médiocrité des enseignants autre part...

Quant à être courtisé par Marianne et y trouver pitance, mazette, je ne regrette pas d'être en bas de la chaine alimentaire plutôt qu'à votre place.

S'agissant de votre fille enseignante dans une École de commerce mais qui n'y comprend rien, je suis évidemment navré, tant pour vous (quelle honte, pas la peine de lui avoir payé des études si c'est pour cela) que pour ses élèves, qui tous doivent raquer une certaine somme pour être là et reçoivent un enseignement d'une personne incapable. Mais j'avais déjà évoqué la médiocrité des enseignants autre part...

Née dans une caravane, jamais fréquenté la moindre école privée, sortie premiére de sa FAC avec un DESS sciences économiques...je suppose qu'elle aurait mille fois preféré exercer ses talents dans une vraie entreprise - Malheureusement la mafia du management français ne recrute que ses pairs et jamais des gens issus des Fac...et il y autant de MBA totalement incompétents dans l'industrie que dans l'enseignement - ça, je le sais, je l'ai vu et de la bétise de ceux-là, j'en vis encore ma foi confortablement tout autodidacte que je suis.

Quant à être courtisé par Marianne et y trouver pitance, mazette, je ne regrette pas d'être en bas de la chaine alimentaire plutôt qu'à votre place.

Courtisé de rien du tout, la presse écrite va trés mal et elle se cherche des relais d'opinion dans l'industrie, c'est tout, Je lis Marianne comme je lis les Echos ou Alternative Eco.

L'interview de Merle avait pour but de répondre de façon impersonnelle à toutes les attaques perso de mon ami Varg , c'est mieux résumé que je n'aurais pu le faire vu la considérable expérience de cet auteur et cela m'évite donc de devoir répondre personnellement.

Autrement pour en revenir à ce film, se reporter à mon premier post ci-haut - rien à rajouter.

novi a écrit:
Autrement pour en revenir à ce film, se reporter à mon premier post ci-haut (...)

Non. Pour en revenir au film, se reporter au lien proposé par Varg initialement, ou aux deux pages dans Marianne. Au moins, on y parle un peu de cinéma et des raisons pour lesquelles Tavernier a jugé nécessaire de réaliser ce film.
Presque tout le reste, c'est de la bifurcation vaine.

C'est assez drôle, d'ailleurs, de défendre un tel mec quand, en face, on a celui qui a réalisé L627, sûrement le film le plus réaliste sur les flics qui a été fait en France. D'un côté, un mec qui dit j'ai été flic, gage de réalisme, et qui fait des films de bouffons couillus, d'un autre un réalisateur classé à gauche qui fait un film au réalisme décapant qui va jusqu'à gêner une gauche trop bien pensante (tu aimes ça, non ?

Ces films n'ont rien à voir tout simplement parce qu'ils décrivent respectivement la vie de brigades différentes.

Il y a autant de flic différents qu'il y a de services différents, de contextes différents, d'époques différentes et l'on suppose que chaque ex-flic raconte ce qu'il a connu lui précisément.

Je comprends que lorsqu'un mec comme Marchal dit j'ai été, ça dérange ...surtout du coté des auteurs de polars, enfin certains !

Oh, non, ce n'est pas qu'il ait été qui me dérange (Eric Jung le fut, Pagan le fut, je le trouve d'une autre crédibilité même si je ne suis pas amateur de ses polars) mais plutôt ce qu'il en fait: de la daubasse pour dimanche soir.

stalker a écrit:Non. Pour en revenir au film, se reporter au lien proposé par Varg initialement, ou aux deux pages dans Marianne. Au moins, on y parle un peu de cinéma et des raisons pour lesquelles Tavernier a jugé nécessaire de réaliser ce film.

Allez, une petite critique de la blogosphère :

Dans la brume électrique sur Nigthswimming

Au fait, vous l'avez lu, le roman ?

Ni lu le roman, ni vu le film, mais pris notes.

Je fais mon trouduc là, parce que j'ai dit ça afin de le prêter mais je viens de me rendre compte qu'il a fui ma bibliothèque. Vers quelle destinée ? Je ne m'en souviens pas .

txoa a écrit:Au fait, vous l'avez lu, le roman ?

Oui, oui... au moment de sa sortie en France.


Et j'ai vu la version américaine du film...

txoa a écrit:Je fais mon trouduc là (...)

Oui, c'est vrai, un peu...

Mais je suis preneur, si jamais tu retrouves la copie en question.

Varg, tu nous dois des explications.

Une amie qui voyage me l'a rapporté, tout simplement...

Bon et bien c'est un très bon roman. Le Deep South en est le personnage principal. Une ambiance quasi fantastique de brouillard, de marais... Tiens ça me fait penser à certaines histoires de Stalker, la Creuse mise à part. Quoique, peut être que ça existe la Nouvelle-Guéret, au fin fond de la Louisiane.

(message transféré dans Films)